épistémoologie (et autres -oologies)
‘Facepalms’ tandis que Socrate fait de l’épistémoologie (et va attaquer son 13e Jack Daniels)
Jacques-Louis David, 1787
épistémoologie
(prononcer « épistémohologie », \e.pi.ste.mɔ.ɔ.lɔ.ʒi\)
nom commun peu commun
« Mot-valise » mêlant l’alcool à l’épistémologie, plusieurs sens lui sont associés :
- Tentative de parler sérieusement de l’étude critique de la connaissance scientifique à quelqu’un dont le jugement est troublé par l’alcool et autres drogues.
- Tentative de parler sérieusement de l’étude critique de la connaissance scientifique en étant soi-même sous l’emprise de l’alcool et autres drogues.
- Par extension : tentative d’élaborer un raisonnement rationnel dans un contexte alcoolisé.
- Par extension : désigne toute activité intellectuelle improductive du fait du contexte de l’énonciation. Il est tout à fait légitime construire le terme adéquat en employant le suffixe -oologie (à prononcer « -ohologie ») : bioologie, généaloogie, etc. D’autres variantes sont possibles (voir ci-dessous).
Exemple : « Par vanité, naïveté ou manque d’ambition, j’ai longtemps essayé de forger mes armes dialectiques dans les soirées entre amis, mais les échanges versaient souvent dans l’épistémoologie, l’un se découvrant philoosophe et histoorien des sciences, l’autre se révélant expert en phys’hic quant’hic. » (in Heidegger contre la bande à Picsou, monographie inédite d’Emmanuel Kant)
Synonyme : perdre son temps, pisser dans un violon (voir luthomictiothérapie)